L’écologie – nouveau pilier de la performance globale du cabinet dentaire

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Aujourd’hui, toute personne vraiment connectée prend conscience des enjeux écologiques et de ce qu’ils impliquent pour chacun d’entre nous.

Chacun sait qu’il est temps d’adapter nos modes de vie dans toutes nos activités humaines, afin de préserver le vivant, les ressources et les écosystèmes naturels et également afin de stabiliser le climat. 

Et bien sûr de transmettre un monde vivable à nos enfants.

Le cabinet dentaire est très consommateur de produits polluants ou à usage unique. 
Il génère des déchets en quantités importantes.

Pourtant, il s’agit avant tout de bien de soigner les gens.
Hors les soigner d’un côté pour polluer de l’autre n’a finalement aucun sens.

Les répercussions négatives pour l’environnement, le sont aussi pour la santé.
Exemple : perturbateurs endocriniens (bisphénols, phtalates), mercure et amalgames (la liste est longue), compromettent peu à peu nos ressources essentielles : l’eau, l’air ou la terre et donc de ce que l’on ingère au quotidien.

Une pollution s’ajoutant à une autre, les molécules indésirables s’accumulent pour former les fameux cocktails chimiques en s’ajoutant à la pollution des autres. Ces cocktails sont de véritables petites bombes chimiques qui en cumul mettent en péril notre santé à tous les niveaux ou presque.

La bonne nouvelle est qu’il est tout à fait possible de nettement diminuer ces impacts négatifs et d’accroître significativement les impacts positifs liés à l’activité du cabinet, tout en préservant la qualité des soins et la santé des patients ET l’environnement.

Cela dit, il est illusoire d’imaginer obtenir un cabinet idéal, où 100% de l’activité serait vertueuse sans aucun polluant ni déchet ou sans aucun impact négatif.

Pour autant, la marge de manœuvre est grande et même plus grande qu’on ne le croit souvent au premier abord. Car il existe aujourd’hui de nombreuses solutions, dont certaines sont encore trop peu connues.

L’autre bonne nouvelle est que travailler (et surtout progresser) sur ces aspects tout aussi fondamentaux que la santé de vos patients, donne automatiquement plus de sens à votre activité. Cela contribue à votre épanouissement personnel au travail. Puisque plus votre impact est positif, plus vous avez la sensation d’avoir une contribution positive dans ce monde.

Cette source d’épanouissement souvent négligée est pourtant un levier puissant d’amélioration du quotidien.

Nous remarquons un engouement de plus en plus affirmé en faveur d’une vraie transition écologique appliquée au monde dentaire. En témoigne le succès chez les chirurgiens dentistes de groupes Facebook spécialisés. Ou encore les communications de l’ADF, dont sa charte “Les chirurgiens dentistes s’engagent en faveur du développement durable” qui date de 2012.

Nous remarquons régulièrement ce nouvel élan, en particulier chez les praticiens de la jeune génération et aussi chez les femmes qui y semblent plus sensibles.

Cette demande pour plus d’écologie est aussi de plus en plus forte chez vos patients.

Au delà de considérations sociétales, la performance écologique est aussi un axe clé de la performance globale du cabinet. Elle a des répercussions positives non seulement sur le plan humain et sur celui de la santé, mais aussi sur le plan économique.

Comme nous allons le voir maintenant. 

L’écologie au cabinet dentaire : l’approche 1 pierre 2 coups

L’objectif est d’adopter une approche en s’assurant de faire d’une pierre deux et même trois coups.

Alors raisonnons un instant comme si tout était possible, ne serait-ce que pour mettre au clair ce que nous voulons.

Idéalement, ce que l’on veut, c’est améliorer (nettement) l’impact écologique du cabinet, tout en assurant les fonctions médicales et économiques indispensables au bon fonctionnement de l’activité. Voire en améliorant ces deux dernières du même coup.

Il y a donc 3 facteurs à prendre en compte (à chaque fois que cela est possible), dans les actions d’amélioration de l’activité : le facteur médical, le facteur économique et le facteur environnemental.

Où la partie environnementale est indissociable des deux autres et vice et versa.
C’est à dire que l’amélioration de l’un des critère doit à minima conserver le niveau des deux autres, voire l’améliorer.

L'écologie au cabinet dentaire

La zone de convergence entre les parties médicales (ou sociale), économiques et environnementales, c’est la zone durable. C’est même sa définition.

Cette zone peut aussi être appelée zone de performance, puisque qu’elle répond à toutes les problématiques essentielles positivement.

A partir de là, l’objectif devient d’identifier les éléments qui appartiennent à cette zone dans l’activité du cabinet, puis d’en augmenter la part progressivement.

L’idée est de mettre le cap sur toutes les actions qui permettent d’activer ces trois leviers en même temps.

Cela concerne de multiples aspects de l’activité. Voire tous les pans de l’activité, sachant qu’il y a des points sur lesquels on peut agir efficacement et d’autres sur lesquels il n’y a pas grand chose à espérer.

On peut agir (nettement comme nous allons le voir) sur les matériaux ou les produits utilisés et leur origine, sur les quantités utilisées et sur la réduction de l’usage unique. On peut aussi agir sur le degré de recyclabilité des produits utilisés ou la facilité de réinjection (une fois utilisés) dans l’économie circulaire, ou encore sur l’amélioration ou la modification de certaines habitudes. Et enfin, quand les résultats sont là, on peut agir sur la manière de communiquer avec ses parties prenantes (équipe médicale, patients, fournisseurs, voisinage…).

On peut aussi agir sur : certains aspects médicaux, notamment par le choix d’un produit utilisé dans les traitements en remplacement d’un autre. Exemple : les amalgames disparaissent peu à peu et sont voués à disparaître complètement pour des matériaux moins problématiques pour la santé des patients, du praticien et pour l’environnement en général.

Il y a donc beaucoup de choses possibles,
A condition de bien s’y prendre et de prendre les choses par le bon bout.

C’est à dire de suivre une méthodologie testée et éprouvée.
Comme par exemple celle-ci.

L’optimisation écologique au cœur de la performance du cabinet dentaire

Optimisation écologique du cabinet dentaire : à quels résultats peut on s’attendre et comment les mesurer ?

Voyons d’abord de quoi l’on parle concrètement, avant d’aborder le “comment”.

En admettant qu’un cabinet joue le jeu à fond et s’engage dans un processus d’amélioration de sa performance environnementale. Jusqu’où peut-on aller ? Et quel genre de résultat peut on espérer ?

Il se trouve que de plus en plus de praticiens s’engagent dans cette voie. Certains cabinets dentaires ont fait le pas. On trouve par ailleurs, de plus en plus de thèses dentaires sur l’écologie au cabinet, avec des leviers d’amélioration très significatifs.

Par exemple, celle de Judith Padilla Barbosa, “Le cabinet dentaire et le développement durable” ou encore celle de Guirec Gallais-Hamono, “Cabinet dentaire et développement durable” ou celle de Grégory MEULEWATER, “Le développement durable au cabinet dentaire : La maîtrise de l’impact environnemental.

En confrontant une demi-douzaine de ces thèses avec notre expertise en RSE (Responsabilité Sociétale des entreprises), il ressort toute une série de points d’amélioration possibles sur ces sujets. Et surtout une idée précise de comment prioriser ces points, du plus simple et impactant à mettre en place, au plus difficile et moins impactant.

Ce qui permet de rester concentré sur les actions les plus efficaces.

Voici le genre de résultat que l’on peut obtenir en partant d’un cabinet moyen, c’est à dire dans la moyenne des cabinets en France actuellement.

On distingue ici les effets directs et les effets indirects d’une démarche d’amélioration continue de la performance globale, avec l’écologie au cœur de la démarche.

On distingue aussi les résultats mesurables des résultats non mesurables. La mesure de ces résultats étant expliquée plus bas dans cet article.

Effets directs mesurables :

  • Achats de produits à usage unique – réduction de 30 à 70%
  • Déchets (quantité et volume) – réduction de 30 à 60 %
  • Eau – réduction de  15 à 40%
  • Energie – réduction de 15 à 35%

Autre effet direct de ces optimisations : quand on diminue les achats du cabinet, la quantité d’eau ou d’énergie consommée, la quantité de déchets, de produits toxiques… etc… on diminue du même coup les factures qui vont avec. Et souvent de manière très significative quand c‘est fait méthodiquement avec une méthode et un accompagnement structuré – voir plus bas. 

⇒ Economies financières atteignables : de 5 000 à plus de 30 000 euros / an

Effets indirects mesurables :

  • Mobilité : Émissions de GES – réduites de 30 à 70%
  • Mobilité : Consommation d’énergies fossiles – réduites de 30 à 70%

Effets indirects significatifs non mesurables :

  • Différentiation par rapport à vos confrères
  • Motivation des équipes renforcées
  • Entraînement des tiers (patients, fournisseurs, prestataires, employés…)
  • Réputation et Image positive du cabinet auprès des parties prenantes.

Tout cela contribue à la consolidation d’un écosystème vertueux autour de votre cabinet.

Ce genre de résultat est tout à fait atteignable pour un cabinet dentaire moyen.

C’est à dire, un cabinet où 1 praticien fait entre 18 et 25 rendez-vous par jour, où son chiffre d’affaires horaire est de 180 à 270 € / h de CA* et où il n’y a pas de Système de Management Environnemental en place (SME).

* Temps passé au fauteuil uniquement

Oui, l’impact positif de tout cela peut être très important. Et il va bien au delà de simplement remplacer quelques gobelets en plastique ou même de supprimer le crachoir (et donc les gobelets).

Et oui, l’idée est de prendre les meilleures décisions et actions afin d’obtenir le maximum d’impact positif possible, de considérablement réduire l’empreinte négative par une gestion optimisée de toutes les ressources disponibles.

Si un petit impact positif est toujours à priori bon à prendre, nous savons aujourd’hui qu’il est contre productif de s’en contenter en pensant bien faire, car il y a souvent beaucoup mieux à faire ailleurs ou autrement.

Exemple : nous voyons beaucoup de praticiens qui cherchent une solution pour replacer leurs gobelets plastiques par des gobelets en carton moins polluants et c’est bien. Pourtant la réalité montre qu’on peut supprimer entièrement et définitivement les achats et l’utilisation de ces gobelets quels qu’ils soient (suppression du crachoir).

Et ceci n’est qu’un exemple parmi (beaucoup) d’autres.

Maintenant que vous avez une vision de l’étendue des résultats que vous pouvez atteindre, il est temps de voir comment vous pouvez les atteindre (et les mesurer).

La mise en place d’un Système de Management Environnemental (SME) simple au cabinet dentaire

Obtenir des résultats et les mesurer, sans monter d’usine à gaz

Le SME permet d’entrer dans une démarche de performance écologique. Celle-ci déclenche d’autres bénéfices de performance (humains et économiques) comme nous venons de le voir.

Le SME sert en réalité à plusieurs choses.
Il sert à :

  • A piloter la démarche à partir d’indicateurs simples et adaptés à votre activité.
  • A suivre ces indicateurs dans le temps
  • A mesurer vos résultats d’amélioration
  • A prendre les meilleures décisions permettant d’obtenir le meilleur impact possible

En bref, le SME vous permet de savoir où vous en êtes à tout moment et de savoir où vous allez, c’est à dire, quelles décisions prendre et pourquoi.

A partir de la situation existante au début de la démarche. Vous posez les meilleurs indicateurs de suivi en fonction de votre activité à vous (chaque cabinet est différent).

Il suffit ensuite de faire le point sur ces quelques indicateurs bien choisis (par exemple, une fois par trimestre). Ce qui vous permet de mesurer simplement vos résultats et les étapes les plus importantes qu’il vous reste à franchir.

Un principe clé : l’amélioration continue

Viser l’optimisation de votre impact écologique, c’est très bien.
Cela dit, soyons clairs, ça ne se fait pas en huit jours.

Obtenir l’impact positif que vous souhaitez, c’est à dire optimisé, se fait plutôt pas à pas, même si certains pas sont plus impactant que d’autres.

La stratégie la plus efficace est celle qui consiste à mettre en place une série d’actions réfléchies et échelonnées dans le temps. Le tout à un rythme adapté pour que les choses deviennent possibles pour vous.

Chaque action est pensée pour avoir un vrai impact d’amélioration (écologique, humain et économique) le plus important possible. Une nouvelle action est mise en place quand celle d’avant est réalisée.

Sur la durée, ces petites actions enclenchent un cercle vertueux et les impacts positifs qui en découlent deviennent importants au bout de quelques semaines, très important au bout de quelques mois.

On appelle ça l’effet cumulé.

L’Effet Cumulé est d’ailleurs le titre d’un excellent livre, que nous vous recommandons par l’un des grands spécialistes américains de ce qui a fait le succès des plus grandes réussites contemporaines, Darren Hardy.

Un exemple d’action à mettre en place à Gros Impact écologique positif pour le cabinet

Le passage à 8 rendez-vous par jour (en moyenne). Quel rapport avec l’écologie ?

Vous l’avez compris, il existe de nombreux changements à impacts positifs.

En voici un et pas des moindres, dont vous avez sans doute déjà entendu parler, mais probablement pas sous l’angle de l’ “impact écologique”.

Il s’agit du passage à 8 rendez-vous par jour (en moyenne).

Avant de vous démontrer l’intérêt écologique de ce changement au cabinet, précisons que nous n’allons pas ici revenir sur les bénéfices du passage au 8 rendez-vous par jour. Car nous les avons largement détaillés dans cet article (Cliquez sur le lien pour en savoir plus).

Précisons simplement ici les bénéfices écologiques induits par ce passage à 8 rendez-vous par jour (en moyenne). Car là aussi, nous pouvons faire d’une pierre, deux coups.

Quand un cabinet passe de 20 à 8 rendez-vous par jour (et ils sont de plus en plus nombreux à le faire), vous obtenez directement 2,5 fois moins de rendez-vous chaque jour, tout en étant plus performant économiquement et pour la santé de vos patients (voir l’article sur le sujet mentionné plus haut). 

Il se passe aussi quelque chose de magique du point de vue de l’écologie.

Comme vous diminuez le nombre de rendez-vous, vous diminuez d’autant beaucoup de produits que vous utilisez couramment et dont la quantité dépend uniquement… du nombre de rendez-vous.

Conséquence ? Beaucoup de ces produits ne sont plus nécessaires.
Les besoins (et donc les achats) sont automatiquement divisés par 2 à 2,5.

L’impact écologique ici est net, ET il entraîne automatiquement des économies nettes, puisqu’on réduit du même coup l’achat de tous les références liées au nombre de rendez-vous.

C’est par exemple le cas pour les blisters, les stérilisations, les injections, les gobelets, les produits d’entretien, les blouses, les masques, les lingettes… etc.

L’effet domino comme objectif ou la loi de pareto

Ce seul changement par rapport à la situation de départ (par exemple 20 rendez-vous par jour) a un impact énorme sur l’environnement ET sur l’activité du cabinet. Impact positif qui s’ajoute aux nombreux autres bénéfices de cette démarche.

⇒ Des économies nettes en plus d’un impact positif.
Que peut-on espérer de mieux ?

Il y a encore mieux pourtant.

Ce passage à 8 rendez-vous par jour permet, de réduire considérablement les achats liés au nombre de rendez-vous ET du même coup la mobilité autour de votre cabinet.

Vous ne voyez pas où nous voulons en venir ?

Alors puisqu’on y est, faisons (vraiment) le compte si vous voulez bien. Dans la situation de départ, c’est-à-dire avec vos 20 à 25 patients par jour, qui viennent au cabinet et font l’aller et retour… chaque jour.

L’impact écologique de ça, concrètement, c’est quoi ?
A votre avis, quel impact cela peut représenter à la fin de mois, au bout d’un an ? Et au bout de 10 ans ?

Les transports, c’est avant tout une histoire de consommation de carburant, donc d’énergies fossiles et une émission de CO2 nette qui va avec. C’est aussi une histoire d’encombrement des routes qui génère souvent des embouteillages, en cumul avec le reste du trafic quotidien… C’est donc une perte de temps et de ressources pour beaucoup de monde au final et en particulier pour vos patients.

Surtout si vos patients doivent revenir 4 ou 6 fois pour terminer un traitement.
Avec des rendez-vous longs, vous divisez ce nombre de déplacements inutiles par 2, par 3…

Là vous pensez peut être que l’on va un peu trop loin. La mobilité fait pourtant bel et bien partie des impacts indirects liés à l’activité du cabinet.

Dites vous simplement que vos patients ne prendraient probablement pas les routes ni les transports s’ils n’avaient pas ce ou ces rendez-vous pour leurs traitements et soins dentaires chez vous.

Le nombre de rendez-vous moyen journalier, influence directement la mobilité autour de votre cabinet et du même coup génère les impacts qui lui sont liés, même si cela ne rentre pas directement dans votre comptabilité.

A 8 rendez-vous par jour, vous diminuez nettement cette mobilité et ses impacts négatifs associés en consommation de carburant fossiles, émissions de CO2, encombrement des routes, temps perdu dans les embouteillages.

Il n’y a décidemment QUE des bénéfices au passage aux 8 rendez-vous / jour.

Avant de clore cette partie, nous attirons votre attention sur le fait qu’il est possible d’agir en poussant le bon domino. Celui qui en a actionne beaucoup d’autres automatiquement.

Nous sommes dans ce qu’on appelle le 80/20, c’est-à-dire dans les 20% des actions qui donnent 80% des résultats. C’est la loi de Pareto.

Ce 80/20 est aussi l’un des principes que nous préconisons. Il permet de s’assurer de faire le plus souvent possible, d’1 pierre, 2 ou même 3 coups comme sur cet exemple.

Et ça n’est pas tout,
ça n’est en fait qu’un début.

Une fois qu’on a fait ça (et c’est déjà beaucoup), on peut aller encore beaucoup plus loin.

Car ensuite, il est tout à fait possible de continuer avec la prochaine petite étape dans l’esprit “effet cumulé” mentionné plus haut.

Par exemple en travaillant sur la réduction de l’usage unique au cabinet (au sens large). Sur ce seul sujet, les impacts peuvent être considérables et s’ajoutent aux précédents.

Et pour aller au bout de la démarche, l’idée est de passer progressivement au crible TOUS les sujets clés porteurs de gisements d’optimisation de la performance globale du cabinet, avec l’écologie au cœur de la démarche.

Ainsi, les autres grands sujets comme le Zero Waste, les achats responsables, la réduction de la consommation énergétique et de la consommation d’eau, sont des sujets à part entière avec lesquels on peut aller encore plus loin.

Toujours en priorisant les sujets du plus au moins impactant.
Et un pas après l’autre, à votre rythme.

Le tout est encore une fois d’y aller méthodiquement en s’assurant de travailler sur de vrais enjeux.

Et pour cela, une méthode et un accompagnement structuré sont indispensables.

Vous pourriez bien sûr y travailler seul(e) et finir par obtenir des résultats.
Mais il y a toutes les chances que cela vous prenne des années.

Alors qu’un accompagnement professionnel sur le sujet pourrait vous faire gagner un temps fou. Vous obtiendriez alors de bien meilleurs résultats d’impact écologique, économique et médical pour rendre votre activité bien plus vertueuse qu’elle ne l’est aujourd’hui. Et en un minimum de temps.

C’est en ce sens que nous avons créé notre programme d’accompagnement Dentiste Zen & Accompli à l’origine. Dans le but d’accompagner la transition écologique des cabinets dentaires avec un maximum d’impact.

Cet accompagnement est unique en francophonie.
Il est accessible ici.

Nous serions ravis de lire vos commentaires ou questions sur ce programme en commentaire ci-dessous.

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